Une nouvelle loi pour « emmerder » (sic!) les Français, à suggérer à Macron.
Sous la pression des mouvements wokistes LGBT financés par les proxénètes et autres progressistes, l’Espagne, pays anciennement catholique, impose désormais aux parents de laisser leurs enfants mineurs se faire castrer et injecter des hormones pour changer de sexe. Selon la nouvelle loi votée par les Cortès en février 2023, les directeurs d’établissement scolaire doivent dénoncer à la police les parents qui empêcheraient leurs enfants de procéder à cette mutilation définitive appelée « changement de genre ».
Jusqu’au XIXe siècle, la castration des garçons était décidée par leur père, dans les familles pauvres d’Italie, pour les « améliorer » selon l’expression rapportée par Giacomo Casanova, le célèbre aventurier vénitien. Ces malheureux devenaient alors des « castrats » dont les plus chanceux chantaient dans les opéras ou devenaient chantres de la chapelle Sixtine pour charmer les oreilles du Pape et de ses cardinaux. Quant aux autres, ils étaient livrés aux ruts stériles des invertis.
Il en était de même en Chine où la cité interdite, interdite aux hommes, excepté l’empereur et ses invités, n’était peuplée que de femmes et d’eunuques. Les harems du Grand Turc ou du shah de Perse étaient aussi peuplés d’eunuques fournis par les corsaires barbaresques d’Alger ou les pirates des steppes d’Asie centrale.
Actuellement, comme les harems légaux n’existent plus en dehors de certains pays arriérés d’Asie centrale ou arabique, ne sont notoirement connus que les lady-boys prostitués du Sud-est asiatique, parfois importés jusqu’au Bois de Boulogne.
Comme dans la Rome pré-chrétienne de Caton, de Néron et de Macron (celui du IIIe siècle), la prostitution et le proxénitisme sont légaux en Espagne depuis vingt ans et certains proxénètes parlent même librement de leur activité dans la presse écrite et sur Youtube comme le « gérant » José Moreno. Cet individu a été condamné à trois ans de prison, non pas en tant qu’honnête proxénète, mais seulement pour avoir enfreint le code du travail: il a employé trois Brésiliennes au lieu des habituelles putains roumaines, bulgares, polonaises « bien de chez nous » puisqu’elles ont une carte d’identité européenne. Aux touristes sexuels venus en masse à la Junquera, depuis la France, un nouveau produit va bientôt être offert parmi les poules à poil mais épilées qui y hantent les « clubs »: des jeunes des familles miséreuses castrés sous la pression de leur père, mère, copine ou copain de leur « parent 1 ou 2″, car la nouvelle loi ne réprime pas les parents lorsque ce sont eux qui ont fait castrer leurs fils dès le plus jeune âge.
Pour l’instant, malgré leur forte présence au sein du gouvernement français du mari de Brigitte, les Wokistes LGBT n’ont pas encore eu l’idée de faire voter par le parlement français les lois appliquées par le gouvernement de Sa Majesté Très Catholique Philippe VI dit « Borbone ».
Ce serait une idée de loi à suggérer à Macron: la castration des adolescents sans le consentement nécessaire des parents. Après la loi sur les retraites, il pourrait encore narguer la quasi-unanimité des Français en leur rappelant qu’ils ont voté pour lui pour cinq ans et qu’il leur a fait inoculer le liquide Pfizer sans leur en faire connaître la composition. Il pourra aussi démontrer une fois de plus que l’inévitable « Républicain » Ciotti (qui se prononce comme « chiottes » en italien) vote ses lois, quelles qu’elles soient.