22 avril, 2023

Une nouvelle loi pour « emmerder » (sic!) les Français, à suggérer à Macron.

Sous la pression des mouvements wokistes LGBT financés par les proxénètes et autres progressistes, l’Espagne, pays anciennement catholique, impose désormais aux parents de laisser leurs enfants mineurs se faire castrer et injecter des hormones pour changer de sexe. Selon la nouvelle loi votée par les Cortès en février 2023, les directeurs d’établissement scolaire doivent dénoncer à la police les parents qui empêcheraient leurs enfants de procéder à cette mutilation définitive appelée « changement de genre ».

Jusqu’au XIXe siècle, la castration des garçons était décidée par leur père, dans les familles pauvres d’Italie, pour les « améliorer » selon l’expression rapportée par Giacomo Casanova, le célèbre aventurier vénitien. Ces malheureux devenaient alors des « castrats » dont les plus chanceux chantaient dans les opéras ou devenaient chantres de la chapelle Sixtine pour charmer les oreilles du Pape et de ses cardinaux. Quant aux autres, ils étaient livrés aux ruts stériles des invertis.

Il en était de même en Chine où la cité interdite, interdite aux hommes, excepté l’empereur et ses invités, n’était peuplée que de femmes et d’eunuques. Les harems du Grand Turc ou du shah de Perse étaient aussi peuplés d’eunuques fournis par les corsaires barbaresques d’Alger ou les pirates des steppes d’Asie centrale.

Actuellement, comme les harems légaux n’existent plus en dehors de certains pays arriérés d’Asie centrale ou arabique, ne sont notoirement connus que les lady-boys prostitués du Sud-est asiatique, parfois importés jusqu’au Bois de Boulogne.

Comme dans la Rome pré-chrétienne de Caton, de Néron et de Macron (celui du IIIe siècle), la prostitution et le proxénitisme sont légaux en Espagne depuis vingt ans et certains proxénètes parlent même librement de leur activité dans la presse écrite et sur Youtube comme le « gérant » José Moreno. Cet individu a été condamné à trois ans de prison, non pas en tant qu’honnête proxénète, mais seulement pour avoir enfreint le code du travail: il a employé trois Brésiliennes au lieu des habituelles putains roumaines, bulgares, polonaises  « bien de chez nous » puisqu’elles ont une carte d’identité européenne.  Aux touristes sexuels venus en masse à la Junquera, depuis la France, un nouveau produit va bientôt être offert parmi les poules à poil mais épilées qui y hantent les « clubs »: des jeunes des familles miséreuses castrés sous la pression de leur père, mère, copine ou copain de leur « parent 1 ou 2″, car la nouvelle loi ne réprime pas les parents lorsque ce sont eux qui ont fait castrer leurs fils dès le plus jeune âge.

Pour l’instant, malgré leur forte présence au sein du gouvernement français du mari de Brigitte, les Wokistes LGBT n’ont pas encore eu l’idée de faire voter par le parlement français les lois appliquées par le gouvernement de Sa Majesté Très Catholique Philippe VI dit « Borbone ».

Ce serait une idée de loi à suggérer à Macron: la castration des adolescents sans le consentement nécessaire des parents. Après la loi sur les retraites, il pourrait encore narguer la quasi-unanimité des Français en leur rappelant qu’ils ont voté pour lui pour cinq ans et qu’il leur a fait inoculer le liquide Pfizer sans  leur en faire connaître la composition. Il pourra aussi démontrer une fois de plus que  l’inévitable « Républicain » Ciotti (qui se prononce comme « chiottes » en italien) vote  ses lois, quelles qu’elles soient.

13 février, 2023

Les injections de Pfizer: la vérité point sur ce poison mortel

Classé dans : économie,international,mafia,medecine,politique — dompaul @ 13:09

Inoculator

Breizh-info (traduction: info bretonnes),  Un journal en ligne au titre local alors qu’il intéresse l’ensemble des francophones, a publié un article sur Ron de Santis, gouverneur républicain de Floride, qui a entrepris de poursuivre en justice les fabricants d’injections à ARNm, prétendument destinés  à protéger du COVID 19, ainsi que les politiciens et médecins corrompus qui en ont assuré la promotion.

Rappelons que la formule de ces produits expérimentaux injectés dans la population moutonnière d’Europe et d’Amérique anglo-saxonne, est restée secrète autant que celle du Coca-Cola.  « Tu ne sais pas ce qu’on t’inocule ». D’autres médecins sont connus pour avoir déjà fait ce genre d’expérience mais, comme les hauts responsables qui cherchent à les imposer aux autres, pas sur eux-mêmes: le docteur Mengele et le docteur Petiot.

Voici deux commentaires très intéressants faisant suite à cet article. Le second évoque en particulier les raisons de la collusion entre Ursula von der Leyen et Emmanuel Macron, tous deux intéressés à l’idée de continuer à recevoir des fonds tirés de la corruption. On comprend mieux aussi pourquoi Macron passe son temps à faire le tour des pays d’Europe pour concurrencer la polyglotte Melloni, qui attire les foules partout où elle va car elle leur parle dans leur langue et parfois même sans accent, notamment en Espagnol ou en Anglais.

  1. En France on a mis le secret défense malgré plus de 1,5 million d’effets secondaires et plus de 1400 décès mais c’est secret les hôpitaux et les médecins ne doivent pas divulguer de suspicions car c’est secret défense de la France du Moyen Age. Il y a en effet des dizaines de milliards en jeux qui ont engendré des commissions 100 fois plus que le football du Qatar. On nous montre des rubriques insignifiantes pour cacher la forêt de la malversation et de la désinformation. Tant que le peuple mouton ne voudra pas connaître les vérités de cette épidémie de laboratoire, du moment qu’il a sa baguette de pain et des cadeaux pourboires, il chantera les louanges de l’éphémère pour aller nulle part.

    ( Mouchet est professeur de médecine dans une université des Hauts de France NDLR)

  2. En fait tout le secret est dans les commissions versées par Pfizer…et dans le secret défense qui entoure l’affaire. Mme Van der Leyen se retirera l’an prochain sans soucis d’argents. Elle sera remplacée par Macron qui lui succèdera après avoir fait main basse sur les économies des Français, assurances vies et autres…

    (Mieke est professeur de médecine en Belgique  NDLR)

 

 

23 octobre, 2022

Qui est le docteur Bourla ? Dieu ou Satan ?

Classé dans : international,mafia,medecine,politique — dompaul @ 23:50

En 1942, des  Juifs de Thessalonique qui se sont souvenu de leur origine ibérique, sont allés  demander un passeport espagnol au consul d’Espagne qui les leur remettait automatiquement  sur ordre du généralissime Francisco Franco, d’origine marrane et caudillo d’Espagne par la grâce de Dieu. Il connaissait le dessein du Fürher  et voulait  sauver les Juifs de la déportation ainsi que l’explique le Thessalonicien Abravanel. En effet, depuis 1492, date de leur expulsion par les rois catholiques, ces Juifs de l’empire ottoman, les Ladinos, continuent encore aujourd’hui à parler espagnol.

La famille Bourla, celle du PDG de Pfizer, Albert, a donc survécu, contrairement à beaucoup de Juifs d’Europe centrale et orientale qui n’avaient pas d’origine espagnole.

Le docteur Albert Burla (Αλβέρτος Μπουρλά en grec), qui remplit les conditions zemmouriennes d’éligibilité à la citoyenneté dans un pays aux racines chrétiennes puisqu’il a un prénom de Pape, est  une prodigieuse intelligence qu’il a mis au service de deux objectifs qui se complètent: gagner des sommes plus importantes que des budgets d’Etat pour corrompre les décideurs et les contraindre ainsi à voter des lois permettant de réduire dans la population mondiale le nombre de ceux qui agissent en esclaves et obéissent aveuglément aux ordres des gouvernants. Il ne veut conserver que ceux qui pensent par eux-mêmes et résistent à la propagande d’Etat .

En effet, s’il y avait eu moins de moutons en Allemagne  en 1914  puis dans les années trente, ou en Russie dans les années vingt, il n’y aurait pas eu de guerres mondiales Hitler et Staline n’auraient pas accédé au pouvoir. Pour Albert Bourla: plus jamais ça !

Déjà, son agent Von der Leyen fait du bon travail en Ukraine puisqu’elle fait hacher menu tous les jeunes Ukrainiens qui ne s’enfuient pas de leur pays pour échapper à la guerre. Celle-ci rapporte des dizaine de milliards d’euros à Zelensky qui en rétrocède une partie à ceux qui le financent avec l’argent de leurs contribuables selon le mécanisme  de la rétro-commission, mis au point par Mitterrand et Chirac avec les rois exotiques.

Vétérinaire, Albert Bourla connaît parfaitement les protocoles pour mettre un médicament pour animaux sur le marché mais en tant que PDG d’un groupe pharmaceutique, il ne les applique pas pour les êtres humains. Il est pressé  de réaliser son oeuvre mondiale.

Maintenant il vise deux groupes de personnes réfractaires: chez les plus de soixante ans et les femmes enceintes. Il veut que ne subsistent que ceux qui résistent vraiment.  En effet, s’il n’ y avait eu que des De Gaulle en France en 1940, il n ‘ aurait pas eu de collaborateurs des nazis, (ni de conduits d’alimentation en eau potable dans les maisons d’Audresselles installés par l’organisation Todt) .

Il est un peu comme Dieu, quand il envoya un météorite dans le golfe du Mexique à la fin du Crétacé, il y a soixante six millions d’années, pour faire disparaître les diplodocus, tricératops et autres tyrannosaures au petit cerveau et pas assez évolués à son goût, afin que les mammifères peuplent la planète pour permettre l’apparition de l’Homme qui pourrait l’adorer puisqu’il a une conscience.

Mais l’Homme est encore trop soumis, dans l’idée d’Albert Bourla (alias Alvertos Bourla), il veut presser le citron pour ne conserver que le meilleur: le jus.

Il a utilisé essentiellement l’arme de la Peur car il a compris que, lors de ses expérience, le docteur Mengele utilisait des sujets qui n’étaient pas consentants et qui donc , n’étaient pas contents. Lui, il a voulu  que les peureux se précipitent pour se faire inoculer des doses du liquide de sa fabrication, protégeant prétendument des effets du coronavirus et des peureux, il y en a des millions. Maintenant, les premiers servis ont encore plus peur puisqu’ils sont atteints de maux inattendus, appelés « effets secondaires »: fièvres, cancers, maux de têtes, arthrite, « mal partout » etc.

Il a été très déçu par les Israéliens, ses coreligionnaires, car ils ont été les premiers et les plus nombreux proportionnellement à aller se faire inoculer son ARN messager alors qu’ ils sont considérés généralement comme plus intelligents que la moyenne, avec les Chinois, évidemment. Mais justement, la population d’Israël  va être bien épurée et ne comportera plus que des Sans-peur et les Sans-dents seront en voie de disparition.

Maintenant, avec Ursula, (en français Ursule, prénom qu’on utilise plus à cause de la rime)  sa complice à l’air perpétuellement hagard, il veut absolument imposer la vaccination obligatoire aux femmes enceintes. Là il fait coup double: il tue la peureuse crédule et sa progéniture qui hériterait de son caractère soumis.

Son système est bien verrouillé car c’est un homme cultivé: il connaît le tableau de Breughel avec la colonne d’ aveugles qui se suivent en posant la main sur l’épaule du précédent: le premier tombe dans le précipice et n’avertit pas les autres qui tombent derrière lui. Même phénomène pendant la guerre de quatorze: la mère qui avait perdu son fils voulait absolument que les fils des voisines aillent aussi se faire tuer. Plus  les inoculés constateront qu’ils sont victimes des effets secondaires du produit Pfizer, plus ils exigeront que les réfractaires reçoivent aussi des injections car « il n’y a pas de raison ».

Bourla veut jouer sur la faiblesse humaine: la peur, l’envie, la cupidité. N’est-il pas plutôt le suppôt de Satan ou même Satan lui-même incarné ?

16 juin, 2022

L’ assassinat du médecin colonel Alain Gervaise. Les médias n’en parlent pas.

Classé dans : medecine,politique,religion — dompaul @ 12:17

 

objet : Notre camarade Alban GERVAISE

Le mois dernier, Alain Gervaise, médecin à l’hôpital militaire de Lavéran, a été assassiné en pleine rue à Marseille, alors qu’il allait chercher ses enfants à l’école.
Voici le témoignage d’un ami, ancien chirurgien dans ce même hôpital, François-Marie Grimaldi.
Devant le silence quasi général des médias, seule Charlotte d’Ornellas, a eu le courage d’en parler sur les ondes, ce qui a amené mon ami à la remercier.
Il ne s’agit pas d’organiser une « bronca » pour soutenir sa famille, mais simplement de diffuser ce message à tous les adhérents.
Fidèlement.
GAR(2S) B. Dary
Président CNE
DE: François-Marie Grimaldi
DATE: 7 juin 2022 à 16:30:19 UTC+2
OBJET: NOTRE CAMARADE ALBAN GERVAISE
Mes chers camarades,
J’étais ce matin aux obsèques d’Alban GERVAISE, 40 ans, médecin en chef (Lt-Col) depuis 2018, Promotion Lyon 99.
Interne de radio à l’hôpital Legouest à Metz, rattaché à la Fac.  de Nancy, il y avait connu son épouse Christelle, jeune externe,
quand il était interne. Elle est biologiste.
Il était par ailleurs le fils de Michel Gervaise, promotion Lyon 1969, lui même décédé.
Après Metz puis Paris, où il avait passé l’agrégation d’Imagerie médicale, il avait été muté à Marseille l’été dernier.
Il avait rejoint Laveran, heureux avec son épouse et leurs 3 enfants en bas âge, Paul, Louis et Juliette, de venir dans le  »sud »..
Un assassin invoquant « Dieu »a détruit leur bonheur. A ce stade, il semble toutefois assez clairement qu’il n’était pas « ciblé », ce
qui n’excuse pas un tel geste.
L’absence de communication par la hiérarchie apparaît comme le respect strict des demandes exclusives de son épouse et de sa
famille, ce qui m’a été confirmé ce matin. Mais au vu de tout ce qui circule dans tous les sens sur les réseaux, chacun s’est déjà
fait ou se fera son opinion…
La cérémonie militaire, non ouverte au public, s’est déroulée dans l’enceinte de l’hôpital Laveran en présence de la famille et du directeur central du SSA, de la Préfète de Police des Bouches du Rhône, du secrétaire général de la préfecture, du gouverneur militaire de Marseille, du directeur de l’ARS, de nombreux officiers généraux des armes de la Région (le Gal Lardet, COMLE, le Gal Youchtchenko, ancien CDC le la 13) et bien évidemment d’une grande partie du personnel de hôpital.
Avaient fait le déplacement depuis Paris le drapeau de l’École d’application (il était agrégé donc affecté au Val), l’inspecteur général du SSA, plusieurs sous-directeurs de la DCSSA . Il y avait aussi plusieurs anciens médecins de Laveran et bien d’autres personnes.
L’éloge funèbre a été prononcée par le Directeur central. Par ailleurs promu récemment Chevalier dans l’Ordre national du Mérite, il devait recevoir cette décoration le 14 juillet. Elle a été remise publiquement à son épouse.
La cérémonie religieuse s’est tenue ensuite en l’Église Saint-Jérôme à proximité du Lycée Sévigné devant lequel il a été poignardé. Le témoignage de son épouse a été particulièrement émouvant d’amour et de courage, comme ceux de ses 2 frères et de 3 de ses camarades de promotion. L’inhumation s’est faite dans l’intimité de sa famille et de ses très proches camarades de promo, de ses « frères » de promo.
Bien fidèlement. « Carpe diem ! ».
François-Marie Grimaldi

8 janvier, 2022

Pfizerino est-il une ordure ? (1)

Classé dans : histoire,international,mafia,medecine,politique,religion — dompaul @ 20:44

Des accusations de collaboration active  du pape François avec la dictature sanguinaire des généraux argentins entre 1976 et 1983 ne cessent non seulement d’alimenter les médias hostiles à l’église catholique mais aussi ceux des Catholiques dits « intégristes », que l’actuel pape traite comme des hérétiques qu’il faut empêcher de nuire. Comme il ne peut plus les faire brûler comme de vulgaires Cathares, il les rejette complètement hors de l’ Eglise dont il a  été élu monarque absolu à vie, selon les règles médiévales immuables et inchangées décidées par Charlemagne en 800 (il y a 1220 ans).

Les parents du Pape Bergoglio, appelé Pfizerino en Italie, sont venus en Argentine après avoir quitté le nord de l’Italie quelques années après l’arrivée au pouvoir de Mussolini. Il serait donc difficile de l’accuser de provenir d’une famille de fascistes. En revanche, ses parents appartenaient à la moyenne bourgeoisie instruite et ils ne cachaient pas leur appartenance à la religion catholique. Employé comme cadre intermédiaire dans les Chemin de fer,  le père du Pape François a été probablement affilié à la CGT, par conviction ou par nécessité. Ce syndicat a été la courroie de transmission du régime du général Peron, grand ami d’un grand Catholique, le « généralissime Francisco Franco, caudillo d’ Espagne, par la grâce de Dieu », comme indiqué sur ses pièces de monnaie.

Depuis le début de la soi-disant pandémie liée à la diffusion de la Covid 19, le pape a condamné un autre goupe de Catholiques, de droite, de gauche ou du Marais, qui refusent de se faire inoculer les trois doses du liquide inconnu fabriqué par les laboratoires Pfizer, contraints à payer des amendes de façon récurrente depuis vingt ans par les procureurs américains pour publicité mensongère, corruption active et autres délits selon le principe du retour sur bénéfice: tu paye une amende infime par rapport aux bénéfices énormes que tu tires de tes crimes et délits.

Personne, actuellement, ne connaît la composition de ce liquide inoculé sauf qu’il contiendrait du graphène (toxique). Dans ton sang, il crée des corps indéterminés  de couleur blanche et visibles au microscope électronique. Le chimiste austro-allemand Andreas Noack qui l’a découvert, aurait été attaqué de façon barbare par des hommes de main le lendemain du jour où il a publié sa découverte. Son épouse a ensuite déclaré qu’il avait été attaqué mais par des paroles ou des écrits et  qu’il était mort chez lui, d’un arrêt cardiaque.

Informé de toutes les données prouvant que le liquide inoculé n’aurait rien à envier aux préparations de Herr doktor Josef Mengele, auxquelles il faut reconnaître aussi que ses cobayes humains ont survécu des dizaines d’années après ses injections, Pfizerino a fait le tour de la place Saint-Pierre avec  une casquette marquée « Pfizer » , d’où son surnom.

Pourquoi donc Pfizerino se montre-t-il si acharné à vouloir que tous les Catholiques se fassent pfizeriner, alors que les prix Nobel de médecine spécialisés en infectiologie recommandent de ne pas utiliser ces injections à base d’ARN messager ou se taisent  ? Il faut remontrer quelques années en arrière pour comprendre les mobiles qui animent Pfizerino en cette circonstance.

(A suivre)

7 septembre, 2021

Inoculator, bientôt sur vos écrans

Classé dans : art,medecine — dompaul @ 15:25

Le soignant qui s’occupe de vous.Inoculator

4 septembre, 2021

J’INOCULE

Classé dans : medecine — dompaul @ 16:07

En cette période de passe sanitaire, il était nécessaire de montrer un soignant préparant une injection. Voir l’image.J'INOCULE

10 août, 2021

Les Imams et le pape conciliaire: la voix de leurs maîtres

Classé dans : international,mafia,medecine,politique,religion — dompaul @ 16:49

Rendre obligatoire l’inoculation d’acide ribonucléïque  censée protéger contre la couronne virale 19 malgré l’avis négatif des Prix Nobel de médecine, tel est l’objectif de tous les politiciens et des médecins de plateau alias « medicos de plata » en espagnol, corrompus par les laboratoires de fabrication du soi-disant vaccin. En effet, la moyenne du montant mensuel de la corruption d’un parlementaire de l’Europe par des services de renseignement d’un autre pays que le sien ou un lobby industriel est d’environ 1 500 €.   Si l’on multiplie cette somme par le nombre de corrupteurs professionnels sous statut légal ou diplomatique, l’élu corrompu peut  s’acheter sa villa  à Audresselles, ou même au Touquet, sur la Côte d’azur, en Corse ou dans une île grecque avant la fin de son mandat. Il ne risque rien du tout du point de vue pénal s’il est corrompu par des agents de pays de l’OTAN ou de leurs alliés comme Israel, le Maroc ou l’Arabie Saoudite.

Mais dans le cas de l’inoculation obligatoire d’un produit dont personne ne connaît vraiment la nature et qui a des effets secondaires parfois mortels, comme dans le cas de Maxime Beltra, mort neuf heures après la piqûre, il suffit de convaincre le chef de file pour que tous les godillots suivent gratuitement car ils espèrent un maroquin, une prébende quelconque ou même une simple réélection.

Donner  une aumône de cinq cents mille euros à une personnalité médicale comme le docteur Raffi (1) reste une somme dérisoire pour des laboratoires pharmaceutiques. Le dernier chiffre d’affaire trimestriel de Pfizer pour la vente d’injections contre la seule covid 19 est de dix huit milliards de dollars.

Le Pape François, ancien collaborateur  de la dictature argentine d’extrême droite, a excommunié les mafieux italiens mais pas les mafieux d’Amérique hispanique, puisqu’il encourage même leur trafic d’êtres humains. Dans le même ordre d’idée, il condamne fermement ceux de ses ouailles qui ne veulent pas se faire vacciner et veut destituer les fonctionnaires du Vatican qui refusent les injections. En revanche, il ne parle pas des bénévoles qui peuplent ses dicastères. En effet, comme les fonctionnaires du Vatican sont les plus mal payés du monde, l’hémorragie risque d’être importante. Si, en plus,  les bénévoles s’en vont, les enfilades des grandes salles des palais pontificaux déjà presque désertes, vont être complètement vides. Mais le Pape pourra y loger ses chers migrants venus d’Afrique et d’Asie, à condition qu’ils soient piqués, bien évidemment.

Mais les imams n’ont rien à envier au Pape en matière de corruption puisque le Grand imam de la Mosquée de Paris, Dalil Boubakeur, juge que le « vaccin » de Pfizer n’est pas interdit de consommation (Haram) aux Mahométans car il ne contient aucun tissus de porc. Comment le sait-il ? Il affirme benoîtement que ce sont des salariés de Pfizer qui le lui ont dit. Donc il les croit sans chercher à savoir ce que contient réellement l’injection qui, du reste, est « secret défense ». D’autres imams, corrompus, reconnaissent que le soi-disant vaccin pourrait contenir de la gélatine de porc ou même des tissus de foetus humains mais que le Coran autorise la consommation de porc ou de n’importe quoi en cas  de danger de mort (par famine). Selon eux, c’est l’absence de vaccination avec le Pfizer qui fait courir un danger de mort.

L’imam des Imams, Ibrahim bin Mohamad bin Ibrahim Al-Assad, déclare que l’injection de Pfizer est totalement haram et que les Musulmans sont suffisamment informés de la Vérité par les médias  alternatifs pour refuser la dictature sanitaire des Corrompus.

C’est donc sciemment qu’ils acceptent l’injection et une seule peine est prévue pour ce crime, surtout s’ils meurent des suites de celle-ci: l’enfer.

Début 2020, le collectif Data+Local recoupait les données de la base Transparence Santé, mise en place après le scandale du Médiator. Les 30 000 praticiens répartis en 32 CHU du territoire se sont partagés plus de 92 millions, auxquels s’ajoutent quelque 78 millions d’euros versés au titre notamment de conventions passées entre les CHU et les laboratoires. Tout cela ne prend bien sûr pas en compte les aides versées aux associations de victimes et ou patients.

 (1) Selon « France-Soir » du 20 juin 2020

Voici le Top 13 du classement des revenus récents versés par l’industrie pharmaceutique

N°1. La Palme d’Or revient au Pr François Raffi de Nantes. 541.729 €, dont 52.812 € de Gilead. Est-ce un hasard si on nous apprend que le coup de téléphone anonyme pour menacer Didier Raoult, s’il persistait avec l’hydroxychloroquine, est parti du téléphone portable du service d’infectiologie du CHU de Nantes, dont François Raffi est chef de service ? Sûrement une pure coïncidence.

N°2. Le Pr Jacques Reynes de Montpellier. 291.741 €, dont 48.006 € de Gilead et 64.493 € d’Abbvie. Or Jacques Reynes a été sollicité par Olivier Véran pour piloter l’essai clinique du protocole Raoult à Montpellier alors qu’il est en même temps le coordinateur national de deux études sur le remdesivir pour le compte de Gilead. Il n’avait sûrement pas eu le temps d’envoyer au Ministre sa Déclaration publique d’intérêts (DPI).

N°3. La Pr Karine Lacombe de Paris – Saint Antoine. 212.209 €, dont 28.412 € de Gilead. Elle est sur la dernière marche du podium, mais l’essentiel est d’y être. Il n’y a pas que le podium avec les Ministres à Matignon.

N°4. Le Pr Jean Michel Molina de Paris – Saint Louis. 184.034 €, dont 26.950 € de Gilead et 22.864 € d’Abbvie. Or Jean-Michel Molina est co-auteur d’un article publié dans Médecine et Maladies Infectieuses sur quelques cas, pour dire que l’hydroxychloroquine ne marche pas. Médecine et Maladies Infectieuses est le journal officiel de la SPILF (Société de Pathologie infectieuse de Langue Française).

N°5. Le Pr Gilbert Deray de Paris. 160.649€. Une belle somme pour un néphrologue qui très présent sur les plateaux télés. Attention le remdesivir peut être très toxique pour les reins.

N°6. Le Pr Jean-Paul Stahl de Grenoble. 100.358 €, dont 4.552 € d’Abbvie. A noter que cette somme n’a pas été déclarée sur sa DPI. Or Jean-Paul Stahl est rédacteur en chef du journal Médecine et Maladies Infectieuses. C’est lui qui a comparé le Plaquénil* au papier toilette.

N°7. Le Pr Christian Chidiac de Lyon. 90.741 €, dont 16.563 € de Gilead. Or Christian Chidiac est président de la Commission Maladies transmissibles du Haut Conseil de la Santé Publique qui a rendu le fameux Avis interdisant l’hydroxychloroquine, sauf aux mourants et demandant d’inclure les malades dans les essais officiels (donc Discovery). Son adjointe, la Pr Florence Ader, citée ci-dessous, est l’investigatrice principale de Discovery. Pure coïncidence.

N°8. Le Pr Bruno Hoen de l’Institut Pasteur. 82.610 €, dont 52.012 € de Gilead. A noter que sur sa DPI, il a noté n’avoir reçu que 1000 € de Gilead ! Or Bruno Hoen a attaqué l’équipe de Marseille dans un courriel du 18 mars 2020, partagé avec tous les infectiologues.

N°9. Le Pr Pierre Tattevin de Rennes. 79.956 €, dont 15.028 € de Gilead. A noter que sur sa DPI, comme son prédécesseur, il a noté n’avoir reçu que 1000 € de Gilead ! Ca doit être le surmenage. Or Pierre Tattevin est président de la SPILF. Cette Société savante a attaqué l’hydroxychloroquine pour encourager les inclusions dans Discovery, ainsi que dans les autres études par tirage au sort avec des groupes de patients non traités (études randomisées).

N°10. Le Pr Vincent Le Moing de Montpellier. 68.435 €, dont 4.776 € de Gilead et 9.642 € d’Abbvie. Or Vincent Le Moing pilote, avec son patron Jacques Reynes cité ci-dessus, l’essai clinique de Montpellier.

N°11. Le Dr Alain Makinson de Montpellier. 63.873 €, dont 15.054 € de Gilead. Or Alain Makinson participe à l’étude de Montpellier avec Jacques Reynes et Vincent Le Moing. Un beau trio. Montpellier est très bien représentée.

N°12François-Xavier Lescure de Paris – Bichat. 28.929 €, dont 8.621 € de Gilead. Or François-Xavier Lescure est l’adjoint de notre célèbre Yazdan Yazdanpanah qui est dans le Conseil scientifique Covid-19. Il a publiquement critiqué l’équipe de Marseille pour discréditer l’hydroxychloroquine. Il est co-auteur de l’étude très contestable sur le remdésivir de Gilead, publiée dans le New England Journal of Medicine. Or cette étude n’a aucune méthodologie.

N°13. La Pr Florence Ader de Lyon. 11.842 € , dont 3.750 € de Gilead. Or Florence Ader est l’investigatrice principale de Discovery.

 

 

 

14 janvier, 2021

ARNM et ADN: nouvelles précisions sur les « vaccinations » anti-COVID 19

Classé dans : medecine — dompaul @ 12:01

Ci-dessous nous publions une lettre de M. Xavier Bazin sur les dangers de l’inoculation de produits censés protéger du COVID 19

Le gros problème des vaccins contre la Covid-19 – partie 2

Cher(e) ami(e) de la Santé,A en croire les grands médias, il n’y aurait aucun problème possible avec la technologie ADN et ARN utilisée par Pfizer, Moderna et Astrazeneca dans leurs vaccins anti-Covid.Pourtant, cette technologie est totalement nouvelle et n’a jamais été expérimentée à grande échelle sur des êtres humains.

Elle consiste à injecter un « message génétique » qui va demander à nos cellules de fabriquer elles-mêmes une partie du coronavirus… et c’est cette partie du virus créée par notre propre organisme qui va produire une réponse de notre système immunitaire.

Autrement dit, les vaccins à ADN ou ARN consistent à injecter un « code » (ADN ou ARN) dans nos cellules, et ce code leur donne l’instruction de fabriquer par elles-mêmes une petite partie du coronavirus Sars-CoV-2.

Qui peut imaginer que cela ne pose aucun risque ?

L’histoire de la science est pavée d’inventions vantées comme « sans danger » et dont on réalise les risques beaucoup plus tard – le bisphénol, les pesticides, les ondes, etc.

Avec ces vaccins ADN et ARN, il y a un risque réel de jouer aux apprentis sorciers.

Ce serait acceptable si on les testait de façon prudente, à petite échelle, avec d’infinies précautions et en prenant le temps nécessaire pour surveiller leurs effets dans le temps.

Mais c’est l’inverse qui est prévu : on essaie de vacciner la planète entière aussi vite que possible !

Pourquoi il y a de bonnes raisons de se méfier des vaccins à ARN

Avec le message ARN, c’est votre corps qui fabrique le médicament, martèle le patron de Moderna le Français Stéphane Bancel.

C’est vrai : il n’y a pas besoin d’injecter le virus, comme dans les vaccins classiques, puisque c’est notre propre corps qui le fabrique, grâce au message ARN.

C’est une énorme révolution, et comme toute innovation radicale sur le vivant, il faut faire être très prudent !

Pour comprendre le risque de ces vaccins génétiques, il faut d’abord dire un mot des vaccins « ADN ».

Les vaccins ADN consistent à utiliser de l’ADN (et non de l’ARN) comme « message » pour demander à nos cellules de fabriquer le « médicament » (un fragment du virus en l’occurrence).

Le problème des vaccins ADN est qu’ils peuvent risquer de modifier notre ADN, ce qui peut causer des catastrophes.

« Quand vous éditez un gène, parfois cela fonctionne bien, parfois cela n’a aucun effet et parfois, cela cause des dégâts », a expliqué Hank Grelly, bioéthicien à l’université de Standford[1].

De fait, le fragment ADN injecté dans nos cellules pourrait modifier l’expression de certains de nos gènes – c’est à dire les activer ou les inactiver.

Il y a vingt ans déjà, un rapport du Sénat pointait l’impact possible sur le cancer : « On ne peut écarter l’hypothèse que le plasmide (l’ADN OGM inoculé par le vaccin) active un oncogène, gène déclencheur de cancer ou, à l’inverse, inhibe l’action d’un gène suppresseur du cancer ».[2]

Avec les vaccins ARN, le risque est infiniment plus faible, car normalement, l’ARN ne peut pas modifier l’ADN.

Comme le dit le Dr Reliquet, « Le risque est théoriquement impossible selon le dogme de la biologie moléculaire puisqu’il s’agit d’un vaccin à ARNm (et non à ADN), mais la biologie est parfois rebelle aux dogmes ! »[3]

De fait, il faut faire attention avec le vivant, qui nous réserve toujours des surprises.

D’autant que l’on connaît au moins un cas où l’ARN peut modifier l’ADN : lorsque la cellule contient une enzyme appelée « retrotranscriptase ».

Or on trouve notamment cette enzyme dans le virus du SIDA, ce qui pourrait rendre périlleuse la vaccination des personnes séropositives au VIH.

Problème : et si les virus se recombinaient entre eux ?

Un autre problème possible de cette technologie révolutionnaire à base d’ARN est le risque de recombinaison virale.

Car les virus ont une capacité assez unique à se « recombiner » entre eux, de façon naturelle.

Un des virus les plus connus s’est créé de cette manière. Il s’agit du virus de la grippe H1N1 de 2009, constitué de trois souches différentes de la grippe : une souche porcine, une souche humaine et une souche aviaire.

Les recombinaisons sont peu fréquentes, car elles supposent qu’un organisme soit infecté par plusieurs virus en même temps. Cela se produit rarement car le système immunitaire, mis en alerte contre un virus, écarte mécaniquement le risque d’une autre infection.

Mais cela peut arriver, et quand deux virus différents se trouvent dans la même cellule, ils risquent alors de se transmettre certaines de leurs propriétés infectieuses.

Le scénario catastrophe est la rencontre d’un virus très infectieux, mais peu dangereux, avec un virus peu transmissible, mais qui fait beaucoup de dégâts : le risque est alors de produire un virus très transmissible et très virulent !

On comprend le problème des nouveaux vaccins ARN ou ADN : en insérant dans nos cellules le code génétique d’une partie du coronavirus, on prend le risque que ce fragment puisse se recombiner avec d’autres virus présents dans nos cellules au moment de la vaccination.

Là encore, la probabilité est probablement faible, mais les conséquences pourraient être catastrophiques en cas de « super-virus » dangereux.

Le problème des réactions immunitaires incontrôlées

Un risque beaucoup plus probable est que les vaccins à ARN ou ADN produisent des réactions immunitaires anormales chez une partie des personnes vaccinées.

C’est clairement ce qui se passait avec les vaccins ARN de première génération. Dans la plupart des cas, ces vaccins ne fonctionnaient pas, car l’ARN étranger était très tôt repéré par notre système immunitaire, qui le détruisait. Mais chez les sujets sensibles, cet intrus causait une sur-réaction du système immunitaire et provoquait des maladies auto-immunes.

Les scientifiques ont alors amélioré leur technique et modifié l’ARN pour lui donner la capacité de s’infiltrer dans les cellules sans sonner l’alarme immunitaire.

Cela a permis aux vaccins d’avoir une certaine efficacité. Mais cela ne leur donne aucune garantie d’éviter des maladies auto-immunes chez les personnes prédisposées.

D’ailleurs, les premières réactions allergiques graves observées en Grande-Bretagne chez les personnels soignants montrent que ces vaccins peuvent causer de graves problèmes immunitaires.

Un autre problème des vaccins ARN ou ADN est qu’ils pourraient conduire certaines personnes à produire des quantités incontrôlées des fragments du virus, avec des conséquences imprévisibles.

Chaque personne étant unique, il est impossible de garantir que toutes les personnes vaccinées produiront le fragment du virus dans la quantité nécessaire pour obtenir une réponse immunitaire normale et immunisante.

Le problème des vaccins dans la vraie vie !

Enfin, même en imaginant que de larges études préalables confirment que ces vaccins ne posent aucun risque particulier, il faut savoir que, dans la « vraie vie », les choses ne se passent pas comme dans les essais cliniques.

Prenez la fabrication, d’abord. Créer des centaines de millions de doses de vaccin en quelques mois est un défi logistique immense. Quand on sait à quel point l’ARN est fragile, on peut imaginer que tout ne se passe pas comme prévu.

Le risque le plus important est que l’ARN se désagrège pendant sa conservation et rende le vaccin inefficace. C’est pourquoi on parle de la nécessité de les conserver dans des congélateurs à -20°, voire à -70°.

Mais on ne peut écarter un risque sanitaire. L’histoire des vaccins est traversée d’accidents industriels, où des dégâts pour la santé sont causés par une mauvaise fabrication.

En 1955, 40 000 enfants américains ont été vaccinés avec des souches de polio qui n’avaient pas été correctement inactivées, ce qui a causé plus de 100 paralysés et 10 morts[4].

Ces accidents n’appartiennent pas qu’au passé lointain. En 2018, 250 000 doses de vaccins DTP défectueux ont été injectés à des enfants chinois, ce qui a causé plusieurs morts[5].

Tout récemment, à l’automne 2020, un banal vaccin contre la grippe fabriqué par le laboratoire Sanofi a été soupçonné d’avoir causé des dizaines de morts en Corée du Sud[6].

L’alarme a été suffisamment forte pour que Singapour décide de suspendre temporairement l’injection de ce vaccin à sa population. Certes, les autorités coréennes se sont ensuite empressées de conclure que ces morts n’avaient rien de suspect, mais on ne peut jamais en être certain.

Après la fabrication, c’est le geste de la vaccination lui-même qui peut connaître des imprévus.

On l’a vu avec AstraZeneca : même avec les millions dépensés par ce laboratoire et les précautions que vous pouvez imaginer pour tester leur nouveau vaccin anti-covid, les scientifiques ont réussi « l’exploit » de se tromper dans la dose injectée ! A une partie des volontaires, ils ont injecté la moitié de la dose plutôt que la totalité.

Tout récemment, en Allemagne, des employés d’une maison de retraite ont reçu d’un seul coup cinq doses du vaccin Pfizer au lieu d’une seule, en raison d’une « erreur humaine »[7] !

Au total, il n’y a jamais aucune certitude sur le caractère inoffensif d’un vaccin.

Au contraire, quand on nous injecte un produit étranger, il y a toujours un risque. Surtout quand il s’agit de produits génétiquement modifiés (OGM) comme les vaccins à ADN d’AstraZeneca.

Ce n’est pas être « anti-vaccin » que de dire cela.

La preuve : des scientifiques de l’Université Harvard ont publié en novembre 2020 un avertissement solennel dans le célèbre magazine Science[8].

Je vous en parle dans une prochaine lettre, vous allez voir, cela fait froid dans le dos !

Bonne santé,

Xavier Bazin

Vous avez un commentaire ? Réagissez !

Pour poster un commentaire, merci de vous rendre sur
cette page.
Cette lettre vous a plu ?
 ARNM et ADN: nouvelles précisions sur les
N’hésitez pas à transférer cette lettre à vos proches.
Vous n’êtes pas abonné ?Inscrivez-vous !

Pour vous abonner gratuitement à La Lettre Santé Corps Esprit, merci de vous rendre sur cette page.

Sources et références scientifiques :  Rendez-vous ici pour voir les sources

Si vous n’êtes pas déjà inscrit pour recevoir La Lettre Santé Corps Esprit, vous pouvez vous inscrire en cliquant sur ce lien.Pour être sûr de bien recevoir La Lettre Santé Corps Esprit à chaque envoi, et éviter qu’elle ne se perde dans votre boîte e-mail, merci de bien vouloir visiter la page suivante.Vous ne souhaitez plus recevoir gratuitement La Lettre Santé Corps Esprit ? Cliquez ici.

Email délivré par : BioSanté Editions Service courrier – 679 avenue de la République – 59800 LILLE FRANCE

 dans medecine 

30 décembre, 2020

Inoculation contre le Coronavirus: est-ce une imposture dangereuse ?

Classé dans : art,medecine,politique — dompaul @ 1:08

Pour l’ instant, il n’est pas encore obligatoire de se faire piquer avec le liquide d’injection de modification génique appelé  abusivement « vaccin » contre le covid 19, virus en grande partie artificiel. Mais le gouvernement français cherche désormais à imposer cette injection à la population selon la stratégie militaire dite « du saucissonage » par tranche d’âge: on commence par les hôtes des Ehpad, sous tutelle pour la plupart. Souvent leur tuteur est aussi leur héritier et il arrive que certains de ces tuteurs soient pressés d’hériter ou de ne plus payer la pension dite « d’aliment » (article 205 du code civil). C’est précisément à eux que la direction des Ehpad demande leur  » jugement éclairé » pour savoir si l’on doit  piquer leurs parents ou beaux-parents.

Grâce aux réseaux sociaux et à France Soir, un média électronique successeur du média papier créé par des Résistants en 1940, les internautes peuvent écouter les voix discordantes des principaux infectiologues français, entre autres Didier Raoult, grand Prix de l’INSERM 2010, professeur de microbiologie à la faculté de médecine de Marseille et à l’IHU Méditerranée, Luc Montagnier, l’un des trois prix Nobel de médecine  français du XXIe siècle, Christian Perronne, vice-président du collège des spécialistes des maladies infectieuses, professeur de médecine et chef de Service à l’hôpital de Garches et Jean-Bernard Fourtillan, professeur agrégé de chimie thérapeutique et de pharmacocinétique à la Faculté de Médecine et de Pharmacie de l’Université de Poitiers (1972-2008), découvreur de la Valentonine, et bienfaiteur de tous ceux qui ont des troubles du sommeil.

Ces spécialistes dont les découvertes sont utilisées dans le monde entier, que l’on peut écouter dans l‘émission de France Soir « le défi de la Vérité » qui va bientôt atteindre le million de vues en ce qui concerne Luc Montagnier, mais aussi sur « Sud-Radio » dans l’émission de « Berkoff dans tous ses états » , estiment tous que les soi-disant « vaccins » que le gouvernement veut inoculer à la population française présentent un grand risque d’effets secondaires très graves comme des cancers ou des modifications génétiques susceptibles de toucher les générations futures.

Parmi les milliardaires américains qui veulent imposer à l’humanité l’utilisation de leurs produits à inoculer, « pour son Bien »,  Luc Montagnier cite notamment le génie de l’informatique Bill Gates, impliqué par ailleurs dans le soutien aux démocrates américains. Il les qualifie d’ « apprentis sorciers »,

Evidemment les spécialistes frondeurs proposent des médications depuis longtemps éprouvées dont les effets secondaires, parfaitement connus, peuvent être maîtrisés, notamment les médicaments à base de quinine.

Mais le gouvernement veut absolument leur imposer silence pour faire vendre les doses des laboratoires implantés principalement aux Etats-Unis, contrairement aux rois qui laissaient la liberté de parole aux professeurs de la Sorbonne. L’ intimidation a commencé: selon la version de J-B Fourtillan, la femme juge Jolivet, depuis son cabinet parisien, l’a convoqué pour des faits qui avaient déjà été jugés et où il avait été relaxé. Car il attribue la paternité et la diffusion du virus covid 19 à l’Institut Pasteur sans jamais parler des Chinois, accusés par tous les gouvernements soumis au grand frère américain. Comme il n’a pas obtempéré à l’injonction du juge parisien, le découvreur de la valentonine a été embarqué manu militari par les gendarmes jusqu’au juge des libertés d’Alès qui, au lieu de l’expédier à Paris pour qu’il visite Sainte-Anne,  comme le lui demandait par téléphone sa collègue parisienne, l’a envoyé dans l’hôpital psychiatrique le plus proche pour expertise. Le psychiatre local a déclaré l’infectiologue sain d’esprit et lui a rendu sa liberté sans  craindre les effets politiques en retour pour lui-même. Ce qui prouve tout de même que Macron est moins craint que le génial maréchal Joseph Staline, d’heureuse mémoire, même s’il cherche à utiliser les mêmes procédés.

Quant au professeur Christian Perronne, il a été convoqué par Martin Hirsch, énarque, fils et petit-fils de haut fonctionnaire. Fonctionnaire de la troisième génération et « ami » de tous les présidents successifs depuis Mitterrand, il n’a pas d’état d’âme. Il a démis Perronne le 17 décembre de ses fonctions de chef de service à l’hôpital de Garches pour « propos qui déplaisaient ». Titulaire d’une simple maîtrise en biologie, il a pu éprouver  la satisfaction des « représentants du Peuple en mission » de la Convention qui, en l’an II de la République française, démettaient des généraux et arrêtaient les notables pour propos séditieux ou comme « ennemis du Peuple ». Direction: la guillotine.

La « chasse au sorcières »  est ouverte, ou plutôt le « procès des médecins » si l’on se réfère à l’exemple du maréchal Staline, le génie du Caucase. Mais, dans ces conditions, les Français font-ils  confiance aux compétences scientifiques de Macron et de son acolyte dont l’accent sent l’ail. Caractéristique  qui le rend pourtant plus sympathique que le docteur Mengele qui lui aussi, inoculait des produits nouveaux à ses sujets d’expérience.  Si vous souhaitez, cher lecteur, vous faire piquer en priorité ou non, participez au sondage à gauche de cet article.

Outre les émissions et videos ci-dessus évoquées, une étude exhaustive est publiée par l’institut européen de bioéthique sous le titre « vaccins contre le coronavirus et utilisation de cellules de foetus avortés: état des lieux publié le 24/11/2020 et mis à jour le 14 décembre 2020.

Voir aussi les autres articles sur le sujet en cliquant sur l’onglet en haut de la page: « médecine »

12345

politiquementelles |
Verité sans masque |
Nadine Rivet, élue démocrat... |
Unblog.fr | Annuaire | Signaler un abus | les acteurs de l'essonne
| palistro
| MRC 22