Gagner de l’argent avec le COVID 19: on ne sait plus dans quelles entreprises pharmaceutiques investir
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Plusieurs Audressellois, qui ont été en relation proche avec des personnes ayant eu les symptômes du covid 19 (les mêmes que ceux de la grippe), sont allés se faire tester les muqueuses nasales par un laboratoire des environs. Evidemment, ils ont été testés positifs sans qu’il se soient aperçus de rien, même pas d’une simple fièvre.
A Audresselles, il existe encore des pêcheurs fileyeurs ou caseyeurs. A côté des muscles en béton de ceux-ci, qui passent leur temps dans les embruns et les vagues, à tirer d’énormes charges chaque jour, les muscles de Schwarzy et de Stallone ressemblent à de la gélatine. On les imagine mal succomber au covid 19.
Du reste, un enterrement récent qui a créé l’affluence dans l’église Saint-Jean Baptiste, aussi pleine que le métro parisien dans la journée, prouve bien que les familles audresselloises suivent la recommandation du Pape Jan-Paul II: « N’ayez pas peur ! »
Bien sûr, selon les autorités, le covid ne circule pas dans le métro, surtout aux heures d’affluence, puisque le microbe n’a pas la place de passer.
Au plus fort du confinement, les églises de France ont été fermées aux fidèles et les mosquées aussi. Comme ni le Coran ni les hadiths ne prévoient cette éventualité prétendument sanitaire, les pratiquants et les religieux, menacés d’amendes de 130 €, ont accepté cette obligation. Mais une proportion non négligeable n’apprécie pas ces oukases . Beaucoup font davantage confiance au professeur Raoult et à ses collègues spécialisés qui partagent son avis plutôt qu’aux autorités gouvernementales. Celles-ci étant soupçonnées de collusion avec les laboratoires pharmaceutiques qui préparent des vaccins comportant des nanoparticules à la fonction non précisée.
A Boulogne-Billancourt, les célébrations du sabbat à la synagogue se sont déroulées normalement pendant le confinement. Les responsables de la police ont voulu éviter tout scandale et surtout être taxés d’antisémitisme.
Une fois de plus, on peut constater que les plus courageux des Croyants sont désormais des Juifs, assez longtemps persécutés pour être devenus bien conscients qu’il faut savoir braver les interdits des gouvernements de rencontre surtout lorsque le fondement de ces interdits est particulièrement contestable.
A Audresselles, des habitants ont été envoyés dans un laboratoire proche pour déterminer s’ils avaient été en contact avec le virus dit « covid 21″. Selon le laboratoire choisi, ils ont eu plus ou moins de chances d’être testés positifs. En effet, si un laboratoire vous déclare positif, il évite tout risque d’être poursuivi en justice. Pourtant, « positif » signifie seulement que le sujet a réagi au virus sans pour autant développer la maladie autrement que sous une forme bénigne ou très bénigne.
Ainsi, sans être vaccinés, la plupart des Français peuvent être testés positifs à la rougeole, à la rubéole, la varicelle ou à la plupart des maladies infantiles.
Ci-dessous, voici un exemple d’article écrit par des mal-pensants qu’Audresselles.at publie précisément pour montrer le discours de ceux qui ne croient pas aux dogmes gouvernementaux sur le covid 21 alors qu’Emmanuel Macron a toujours raison puisqu’il a été élu président de la République française au suffrage universel.
Un célèbre autre complotiste, donc mal-pensant, Dominique de Villepin, estimait que Saddam Hussein ne possédait pas d’armes justifiant l’intervention américaine en Irak . Enfin, après le 11 septembre 2001, d’autres complotistes estimaient que la troisième tour du World Trade Center ne s’était pas effondrée toute seule. Ils ont du reste été punis par plusieurs mois d’interdiction de passage dans les médias officiels.
Extrait de « la Tribune » censurée par le JDD !
lalettrepatriote.com/tribune-censuree-par-le-jdd publie l’ensemble de l’article.
Le JDD devait publier une tribune signées par près de 300 scientifiques, universitaires et professionnels de santé critiquant la dérive de la politique sanitaire du gouvernement français. Ils estiment qu’elle conduit à des interprétations erronées des données statistiques et à des mesures disproportionnées. Parmi les signataires, on aurait dû trouver le sociologue Laurent Mucchielli, les professeurs Jean-François Toussaint et Laurent Toubiana.
Cette tribune devait initialement paraître dans le Journal du Dimanche (JDD) ce 27 septembre 2020. Acceptée le samedi matin par le journaliste en charge de la rubrique “Tribune/Opinions”, elle devait paraître intégralement sur le site Internet du journal et faire l’objet d’un article dans la version papier du lendemain. Le journaliste nous disait s’en féliciter car cela allait permettre un débat contradictoire avec d’autres opinions très alarmistes exprimées ce jour dans ce journal. A 16h, ce journaliste nous a pourtant prévenu que sa rédaction en chef interdisait la publication. (…)
30 septembre 2020
Tandis que le gouvernement prépare une nouvelle loi (la quatrième en 6 mois !) prolongeant le « régime d’exception » qui a remplacé « l’état d’urgence » sanitaire, le ministère de la Santé a encore annoncé mercredi 23 septembre des mesures restrictives des libertés individuelles et collectives qu’il prétend fondées scientifiquement sur l’analyse de l’épidémie de coronavirus. Cette prétention est contestable. Nous pensons au contraire que la peur et l’aveuglement gouvernent la réflexion, qu’ils conduisent à des interprétations erronées des données statistiques et à des décisions administratives disproportionnées, souvent inutiles voire contre-productives.
Que savons-nous de cette épidémie et de son évolution ?
Le SARS-CoV-2 menace essentiellement les personnes dont le système immunitaire est fragilisé par le grand âge, la sédentarité, l’obésité, des comorbidités cardio-respiratoires et des maladies sous-jacentes de ces systèmes. Il en découle que la priorité sanitaire est de protéger ces personnes fragiles : le respect des gestes barrières et le lavage des mains en sont deux des clés.
Le SARS-CoV-2 circule dans le monde depuis environ un an. Il continuera à circuler, comme l’ensemble des autres virus qui vivent en nous et autour de nous, et auxquels nos organismes se sont progressivement adaptés. L’espoir de faire disparaître ce virus en réduisant à néant la vie sociale est une illusion. D’autres pays, en Asie comme en Europe, n’ont pas eu recours à ces pratiques médiévales et ne s’en sortent pas plus mal que nous.
Quant à l’évolution, l’idée d’une « deuxième vague » reproduisant le pic de mars-avril 2020 n’est pas un constat empirique. C’est une théorie catastrophiste issue de modélisations fondées sur des hypothèses non vérifiées, annoncée dès le mois de mars et ressortie des cartons à chaque étape de l’épidémie : en avril lors du soi-disant « relâchement » des Français, en mai avant le déconfinement, en juin pour la Fête de la musique, en été pour les « clusters » de Mayenne ou les matchs de foot, et à nouveau cet automne face à une augmentation des cas certes significative, mais lente et grevée d’incertitudes diagnostiques. Au final, cette prétendue « deuxième vague » est une aberration épidémiologique et l’on ne voit rien venir qui puisse être sérieusement comparé à ce que nous avons vécu au printemps dernier.
Nous voyons enfin que, pour des raisons difficiles à cerner (panique, pression politique ou médiatique… ?), les autorités sanitaires françaises ne parviennent pas à stabiliser une communication honnête sur les chiffres de l’épidémie. Elles ont surtout abandonné l’indicateur fondamental, la mortalité, pour ne retenir que celui de la positivité de tests pourtant incapables de distinguer les sujets malades des personnes guéries. Cette politique du chiffre appliquée aux tests conduit à une nouvelle aberration consistant à s’étonner du fait qu’on trouve davantage aujourd’hui ce qu’on ne cherchait pas hier. Elle conduit par ailleurs à des classements des départements ou des régions en zones plus ou moins « dangereuses » à qui l’on donne de jolies couleurs qui cachent la fragilité et l’arbitraire du comptage : untel se retrouvera en « zone rouge » alors qu’il y a moins de dix patients en réanimation, un autre verra tous ses restaurants fermés sans que l’on ait la preuve que ce sont des lieux de contamination majeurs. Tout cela n’est guère cohérent.
Les autorités sanitaires ne s’interrogent pas non plus sur la surmortalité à venir des autres grandes causes de décès (cancers, maladies cardio-vasculaires) dont la prise en charge est délaissée, ni sur le fait qu’une partie des sujets classifiés parmi les personnes « décédées de la Covid » sont en réalité mortes en raison d’une autre pathologie mais classifiées Covid parce qu’elles étaient également porteuses du virus.
Or des études récentes montrent que ce groupe pourrait constituer jusqu’à 30% des décès au Royaume Uni ces dernières semaines. Cette façon de compter de plus en plus comme « morts du Covid » des personnes en réalité atteintes avant tout d’autres maladies est probablement l’explication principale du fait que, comme cela est écrit en toutes lettres sur le site de l’INSEE : « depuis le 1er mai, on ne constate plus en France d’excédent de mortalité par rapport à 2019 ».
Il découle de tout ceci qu’il n’y a pas de sens à paralyser tout ou partie de la vie de la société en suivant des raisonnements qui sont parfois erronés dans leurs prémisses mêmes. Il est urgent d’arrêter l’escalade, d’accepter de remettre à plat nos connaissances scientifiques et médicales, pour redéfinir démocratiquement
une stratégie sanitaire actuellement en pleine dérive autoritariste.
La nouvelle équipe municipale d’Audresselles se montre extrêmement réactive depuis sa mise en place. Le devis des entreprises spécialisées, l’approbation du conseil et la réparation du toit et des gouttières de l’église du XIIe-XIIIe siècle , ont été réalisés en un temps record et dans les règles malgré les empêchements liés à la soi-disant pandémie de coronavirus: il a fallu moins de trois mois. Sans même que l’église soit fermée au fidèles.
Du jamais vu à Audresselles.
Il avait en effet fallu quatre ans à de simples citoyens, pour obtenir laborieusement des conseillers municipaux de l’ancienne majorité, dont un « laïcard » très hostile, le vote acceptant la restauration des trois tableaux du choeur de l’église inscrits à l’inventaire supplémentaire des monuments historiques. Et pourtant, les fonds (23 000 €) avaient été fournis par des particuliers, le conseil général et la paroisse puisque la mairie ne votait aucune ligne de crédit pour l’entretien du patrimoine (voir l’article: Un nouveau tableau à restaurer: la décollation du Baptiste.)
Le nouveau maire d’Audresselles se dit « laïc » mais il a le souci de préserver le patrimoine historique et culturel de sa commune.
On rapprochera cette nouvelle politique audresselloise de celle du maire de Wierre-Effroy qui, chaque année, prévoit une ligne de crédit pour faire restaurer l’un des tableaux de la magnifique église de cette commune, peu éloignée d’Audresselles. En effet, alors que sa commune n’est pas plus peuplée qu’Audresselles, elle dispose aussi d’un gymnase et d’une salle des fêtes neufs ainsi que d’un stade de foot-ball parfaitement entretenu et éclairé
Dans le même temps que le toit de l’église d’Audresselles est restauré dans un temps éclair, celui d’Ambleteuse est en restauration depuis plusieurs mois jusqu’à une date indéfinie et l’église y est fermée. La messe n’y est plus dite et l’ensemble des paroissiens d’Ambleteuse commençait à prendre l’habitude de se joindre aux Audressellois dans l’église d’Audresselles.
Mais le nouvel administrateur de la paroisse qui succède à l’ancien curé responsable de l’église d’Audresselles, veut appliquer à la lettre les consignes gouvernementales concernant les distances réglementaires entre les personnes désormais édictées par les autorités régentées par le Grand fabricant de vaccins occidental Bill Gates. Il faut rendre la vie impossible aux gens pour qu’ils acceptent, de guerre lasse, de se faire vacciner avec ce vaccin, mais pas celui fabriqué par les Russes, bien sûr.
Donc, la messe dominicale va être déplacée vers l’église d’ Audinghen, dont l’intérieur, plus vaste, ressemble à une salle de cinéma.
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Dans de nombreuses familles du Boulonnais, y compris à Audresselles, quelques uns de leurs membres ont choisi ou choisissent de s’engager dans l’armée et sont envoyés dans des zones de guerre, puisque c’est leur vocation. Cette déclaration du chef de l’armée de terre permet de mieux connaître leur cadre de vie.
Pour faire face à l’épidémie de Covid-19, l’armée de Terre a dû concilier deux exigences. La première est évidente : pour continuer à assurer ses missions, elle a dû veiller à protéger ses soldats contre le risque de contamination. La seconde ne l’est pas moins : les engagements étant appelés à se poursuivre, en particulier au Sahel, il lui a fallu faire au mieux pour assurer la continuité de la préparation opérationnelle de ses troupes, tout en prenant part à l’opération Résilience.
> > « J’ai aussi un devoir vis-à-vis de mes hommes qui doivent être déployés avec toutes les chances de réussir leurs missions. Pour concilier ces deux exigences, il faut faire preuve de pédagogie, en interne et en externe, car certains se sont étonnés que nos soldats continuent de s’entraîner au lieu de rester confinés. Il s’agit bien de préparer nos soldats à l’exécution des missions que le Gouvernement nous confie. Et en voulant les protéger à court terme contre le risque du Covid, en stoppant tout entraînement, nous leur ferions prendre, ultérieurement, des risques plus grands en opérations », a ainsi expliqué le général Thierry Burkhard, le chef d’état-major de l’armée de Terre [CEMAT], lors d’une audition de la commission de la Défense, à l’Assemblée nationale.
> > Cependant, la crise liée à l’épidémie aura évidemment un impact sur l’armée de Terre. Si la préparation opérationnelle a été maintenue autant que possible, « nous avons réduit des deux tiers nos activités d’entraînement interarmes et interrompu une bonne partie de nos formations pour nous concentrer sur les relèves et sur l’opération Résilience » a souligné le général Burkhard. « Il y a donc un déficit de préparation opérationnelle que nous allons chercher à résorber », a-t-il ensuite assuré.
> > En matière de ressources humaines, et durant le confinement, le recrutement a été suspendu, ce qui risque d’entraîner un déficit de « 1.000 à 2.000 jeunes engagés » qui ne sera vraisemblablement pas comblé d’ici la fin de cette année. Enfin, le Maintien en condition opérationnelle [MCO] des véhicules a pu être assuré… en puisant massivement dans les stocks de pièces. « Si l’industrie de défense ne rouvre pas rapidement les flux, nous serons en difficulté, à moyen terme. Je suis donc très vigilant », a prévenu le CEMAT.
> > Quant aux enseignements qu’il a tirés à ce stade de la crise, le général Burkhard a sorti la sulfateuse. Pour commencer, il a fait valoir qu’un modèle d’armée complet n’est « pas une assurence inutile », même si la critique généralement faite est que cela suppose de disposer de capacités « échantillonaires ».
> > « Il y a six mois, certains auraient peut-être jugé le 2e Régiment de Dragons, qui aligne 800 à 900 hommes, un peu trop coûteux. Mais ce n’est pas au moment du déclenchement d’une crise que l’on peut acquérir une telle expertise, rassembler des hommes et des matériels, etc », a fait remarquer le CEMAT, après avoir rappelé que cette unité a mené « 250 opérations de désinfection, principalement d’administrations » et déployé outre-Mer « une dizaine d’équipes. » Et d’insister : « Son expertise n’aurait pas été maintenue à ce niveau si, dès février, son chef de corps n’avait pas pris l’initiative de constituer des stocks de produits de désinfection! ».
> > Le second enseignement avancé par le général Burkhard est que la « résilience n’est pas un luxe, même si elle ne fait pas toujours bon ménage avec l’efficience. » Sur ce point, a-t-il continué, « l’autonomie stratégique est bien évidemment une composante de cette résilience. »
> > « Nous devons donc identifier nos équipements les plus stratégiques dont il faudra sécuriser toute la chaîne de valeur », a ensuite développé le général Burkhard, avant de rappeler un évidence qui n’est pas forcément la mieux partagée. « En cas de guerre ou même de crise, nos ennemis feront tout pour nous empêcher de compléter nos stocks de munitions et de pièces de rechange. On ne saurait en constater l’insuffisance, comme cela a été le cas pour les stocks de masques, que seule la loi de l’offre et de la demande nous a empêchés de reconstituer plus rapidement », a-t-il lancé.
> > Le compte-rendu de l’audition n’indique pas si le CEMAT a donné des précisions sur les munitions en question. Mais son propos fait écho au débat sur la relocalisation, en France, d’une filière de munitions de petit calibre.
> > Ce sujet avait été évoqué lors du passage du Délégué général pour l’armement, Joël Barre, devant la commission de la Défense. « L’épisode des masques ne devrait-il pas nous inciter à revoir cette stratégie et à assurer une souveraineté française ou européenne dans nos approvisionnements militaires? », lui avait demandé le député Olivier Becht. Et la réponse fut négative.
> > « Le marché français des munitions de petit calibre est négligeable par rapport au marché mondial : si nous voulions être indépendants, cela nous coûterait très cher » d’autant plus qye « plusieurs pays sont susceptibles de nous les fournir », avait répondu M. Barre. La « crise actuelle ne remet pas en cause l’analyse de la filière que nous avions menée en 2018 mais il faut se reposer la question de la souveraineté en des termes plus larges », avait-il conclu.
> > Le dernier enseignement tiré par le général Burkhard pourrait se résumer par cette question : « pourquoi faire compliqué quand on peut faire simple? ». En effet, pour le CEMAT, « notre mode de fonctionnement est devenu trop complexe », avec une « accumulation de normes et de directives multiples [qui] nous empêche de fonctionner de manière souple et réactive. »
> > Aussi, a-t-il estimé, « nous devons retrouver une forme d’agilité au service de l’opérationnel, à l’instar de la procédure des urgences opérationnelles qui nous permet d’obtenir rapidement certains équipements qui nous font défaut. »
> > Et le CEMAT d’insister : « L’état d’esprit qui consiste à trouver la solution plutôt que d’expliquer pourquoi les choses ne devraient pas être faites devrait être un peu plus répandu. Beaucoup réglementent mais les armées à qui l’on demande de remplir ses missions en tout temps, en tous lieux, sont enfermées dans un excès de normes. Il faut être vigilant à ce que celles-ci ne nous étouffent pas. »
> > Ce point devrait faire partie du plan stratégique que le général Burkhard aurait dû présenter ces dernières semaines. « C’est une de mes priorités car l’armée de Terre n’est pas exempte de reproches dans ce domaine, nous devons aussi trouver des solutions, simplifier nos procédures et faire évoluer certaines mentalités », a-t-il en effet confié aux députés.
> > Le CEMAT a conclu son propos liminaire par un avertissement. « Cette crise conforte mon point de vue sur les orientations du plan stratégique de l’armée de Terre. Le monde est dangereux, la crise contribue à cette dangerosité et un conflit majeur n’est pas improbable – on voit en Libye quelque chose qui s’en approche. Face à une crise majeure, il faut être prêts d’emblée, et il faut être résilients, savoir encaisser les chocs, sinon nous serons balayés », a-t-il dit.
Hier, 5 avril 2020, des gendarmes sont venus dans Audresselles à la chasse aux passants pour les verbaliser dans le cadre du confinement obligatoire. Contrairement à leurs collègues du 93, censés eux aussi appliquer ce genre de directive, ils ne risquent pas de se faire traiter de « bâtards » (1), cracher dessus, recevoir des cailloux ou même essuyer des tirs de pistolets mitrailleurs depuis les fenêtres. A Audresselles, la pêche aux contrevenants, c’est un peu comme le tir au lâcher de pigeons d’élevage.
En interdisant le 20 janvier 2020, l’utilisation d’un médicament efficace et bon marché, et en le remplaçant par des amendes, les décideurs qui commandent les gendarmes dans l’intérêt de laboratoires pharmaceutiques, ont eu davantage d’imagination que les autorités d’occupation allemandes de 1940-1944, qui laissaient circuler librement les Français, y compris la nuit, au lieu de les confiner pour leur soutirer des fonds grâce à des amendes. Les fonctionnaires du Führer ( qui, lors de son séjour à Audresselles, a distribué lui-même des bonbons aux petits enfants ) n’ont même pas pensé à faire payer très cher les ausweis qui permettaient de voyager entre la zone libre, la zone occupée et même la zone interdite.
Dans de petits bourgs de la France profonde, des familles essayent de cacher qu’un de leur proche est décédé du coronavirus, comme si c’était une maladie honteuse. C’est une erreur de refuser de faire enregistrer le coronavirus comme cause du décès. Un jour ou l’autre, peut-être dans une dizaine d’années ou même plus, un nouveau gouvernement décidera d’indemniser les descendants ou les veuves des victimes comme ceux des victimes de la « Shoah » ou les anciens opposants à Franco de la guerre civile.
Voici les
Commentaires d’un médecin militaire cardiologue :
Pour essayer d’y voir clair dans cette cacophonie généralisée !!!
Les faits :
- sous le lobbying intensif du Professeur Raoult, un test à grande échelle de la chloroquine a commencé finalement en France, sous la direction de l’Inserm (!), qui veut « refaire les expérimentations dans d’autres centres médicaux
indépendants » : ce qui prendra 6 semaines de plus… Presque aucun media n’en parle.
Vous pouvez vérifier ces dires … tout est vrai
Agnes Buzyn a fait perdre des mois précieux tout cela pour éviter un conflit d’intérêt !
Deux éléments de réponse :
D’abord une chronique de Loic Tassé, dans le Journal de Montréal du 23 mars, qui révèle les raisons pour lesquelles le Dr Raoult n’est pas en odeur de sainteté parmi l’élite :
« Le Dr Raoult est « un des experts mondiaux en matière de maladies infectieuses et tropicales. Il est à la tête de l’Institut hospitalo-universitaire Méditerranée Infection, dans la deuxième ville de France.»
Selon, M. Tassé, le Dr Didier Raoult s’est mis à dos les « compagnies pharmaceutiques qui n’aiment pas que quelqu’un propose un traitement à partir d’un médicament qui ne coûte presque rien.» Mais il y a pire:
1. Il a remis en question le modèle darwinien de l’évolution. Le Dr Raoult a osé remettre en question le Darwinisme, vache sacré des chercheurs de tout poil : En effet, en 2009, il osait décrire à l’Agence France Presse la composition génétique de certains virus géants, qui ont un patrimoine génétique composite, ce qui remet en question la notion darwinienne d’ancêtre commun à toutes les espèces.
2. Il a osé remettre en question les données sur le réchauffement climatique. En 2014, au grand dam des gauchistes qui s’improvisent climatologues, il remet en question les données sur le réchauffement climatique et se trouve classé parmi les «climatosceptiques» donc exclu de l’élite des chercheurs reconnus mondialement.
3. Il manque de modestie et se gausse de l’élite scientifique de France. « Le 25 février, il a annoncé que la chloroquine, antipaludéen bien connu (Nivaquine, Plaquenil), est « le traitement le moins cher et le plus simple pour traiter le Covid-19 ». « Le 16 mars, il dévoile les premiers résultats de ses essais: sur 24 malades, les trois quarts n’étaient plus porteurs après six jours. « C’est l’antibiotique des virus, faut pas chercher midi à quatorze heures»
> > > > Les infectiologues qui mettent en garde contre les «effets d’annonce», les «faux espoirs», les « médicaments miracles», il les traite de « petits marquis parisiens».
Bref, il a tout pour déplaire. »
Ensuite, sans aucun ordre, quelques arguments rationnels de moi-même à portée de tout médecin, même non infectiologue, qui a gardé quelques notions de base et, SURTOUT, un peu de bon sens :
- Les effets secondaires de la chloroquine sont très bien connus pour un médicament utilisé par des dizaines, ou même plus probablement, centaines de millions d’hommes (et femmes…) (et enfants…) dans le monde depuis des dizaines d’années : essentiellement ophtalmologiques, ils surviennent pour de fortes doses et après au minimum 5 années de traitement. Argumenter de l’existence possible d’effets secondaires pour un traitement de quelques jours à dose très modérée (600 mg/jour) relève de l’ignorance, de la mauvaise foi ou du mensonge délibéré
- On parle beaucoup de la publication par le Pr RAOULT des résultats très encourageants de ses premières utilisations. Mais les « opposants » disent qu’’il est seul et n’indiquent jamais que les chinois (pays le plus avancé en virologie) ont publié des résultats similaires voici quelques semaines, ce que RAOULT n’oublie pas de rappeler !!
- « Nous n’avons pas encore le recul suffisant et le nombre requis de cas traités par plusieurs équipes différentes en utilisant un protocole agréé» disent encore les opposants de mauvaise foi. Ils oublient de dire que les études imposées par les lois et règlements des énormes bazars (et fromages…) administratifs qui s’appellent Ministère de la Santé, INSERM, OMS, Autorité Européenne,… nécessitent plusieurs ANNEES avant d’être validées (C’est tellement vrai et ridicule que la plupart des anticancéreux efficaces actuels sont utilisés avec dérogation spéciale pour pouvoir être prescrits avant les délais légaux !!). Ils oublient que «on est en guerre » selon Macron avec des centaines de morts par jour, dont beaucoup évitables par un traitement, si la décision est prise d’urgence.
EN CONCLUSION : Dans le cas présent et en pratique : Nous avons donc le choix entre :
- a/ Utiliser un produit qui semble rapidement et très majoritairement efficace sans effets secondaires
- b/ ne RIEN utiliser !! Il n’y a AUCUN autre produit efficace !! Personne ne traite le Coronavirus : les médecins et les services de réanimation traitent les complications pulmonaires de la maladie, dues au virus, mais pas le virus lui-même !
Devant une telle alternative, où peut être l’hésitation ? Il est totalement incompréhensible qu’elle puisse exister. Si elle existe, ce ne peut être que sur des arguments non rationnels, non médicalement logiques et, j’ose dire, non intellectuellement honnêtes ; ou alors cachés…
Nul n’est forcé d’être d’accord avec moi, mais c’est mon avis et je le partage !!
Amitiés à tous, et réduisez les contacts aux nécessités vitales : vous verrez que leur nombre peut être réduit à (presque) zéro.
Médecin Chef des services du Service de Santé des Armées Alain Desprous
Prenez soin de vous
Note
(1) L’ordonnance du 26 mai 1445, crée les compagnies d’ordonnance, composées de gendarmes, soldats d’élite, et recrutés dans la petite noblesse et les bâtards de la noblesse afin d’assurer leur fidélité absolue au chef de l’Etat sans lequel ils ne seraient rien. D’où l’expression qui n’a rien de péjoratif à l’origine)
Pour obtenir un aperçu général sur le coronavirus et constater comment les Chinois, du continent et des Etats d’outre-mer (Taiwan, Singapour) ont jugulé l’épidémie alors que le gouvernement français, nourri de polémiques d’experts parfois intéressés, recourt à la méthode du confinement généralisé comme pour les lépreux au Moyen-âge , on pourra lire l’intéressant article du blog « jdmichel.blog.tdg.ch » sur le sujet:
Il comporte notamment un schémas dit « camembert » de l’institut national de la Santé italien du 17 mars 2020 représentant les décès dus au coronavirus et découpé en quatre parts: 48,5% des patients étaient atteints de 3 autres pathologies, 74,1 %, de 2 autres pathologies, 99,2%, d’une autre pathologie, 0,8% , d’aucune autre pathologie apparente.
Au lieu de confiner toute la population alors que presque tout le monde est immunisé, le gouvernement imprévoyant n’a pas encore eu l’idée de diffuser des tests qui auraient permis à l’essentiel de la population de circuler librement.
Nota: un lecteur, signant du nom d’un médecin de la région, envoie des commentaires que nous ne pourrons malheureusement pas diffuser avec son nom tant que nous ne serons pas assurés que son identité n’a pas été usurpée.
Mgr Pascal Roland, évêque d’Ars -Belley, a diffusé le communiqué suivant :
début de citation:
« Plus que l’épidémie du coronavirus, nous devons craindre l’épidémie de la peur ! Pour ma part, je me refuse de céder à la panique collective et de m’assujettir au principe de précaution qui semble mouvoir les institutions civiles.
Je n’entends donc pas édicter de consignes particulières pour mon diocèse : les chrétiens vont-ils cesser de se rassembler pour prier ? Vont-ils renoncer à fréquenter et à secourir leurs semblables ? Hormis les mesures de prudence élémentaire que chacun prend spontanément pour ne pas contaminer les autres lorsqu’il est malade, il n’est pas opportun d’en rajouter.
Nous devrions plutôt nous souvenir que dans des situations bien plus graves, celles des grandes pestes, et alors que les moyens sanitaires n’étaient pas ceux d’aujourd’hui, les populations chrétiennes se sont illustrées par des démarches de prière collective, ainsi que par le secours aux malades, l’assistance aux mourants et la sépulture des défunts. Bref, les disciples du Christ ne se sont ni détournés de Dieu ni dérobés au semblable. Bien au contraire !
La panique collective à laquelle nous assistons aujourd’hui n’est-elle pas révélatrice de notre rapport faussé à la réalité de la mort ? Ne manifeste-elle pas les effets anxiogènes de la perte de Dieu ? Nous voulons nous cacher que nous sommes mortels et, nous étant fermés à la dimension spirituelle de notre être, nous perdons pied. Parce que nous disposons de techniques de plus en plus élaborées et plus performantes, nous prétendons tout maîtriser et nous occultons que nous ne sommes pas les maîtres de la vie !
Au passage, notons que l’occurrence de cette épidémie au moment des débats sur les lois de bioéthique nous rappelle fort heureusement notre fragilité humaine ! Et cette crise mondiale présente au moins l’avantage de nous rappeler que nous habitons une maison commune, que nous sommes tous vulnérables et interdépendants, et qu’il est plus urgent de coopérer que de fermer nos frontières !
Et puis nous semblons tous avoir perdu la tête ! En tous cas nous vivons dans le mensonge. Pourquoi focaliser soudainement notre attention sur le seul coronavirus ? Pourquoi nous cacher que chaque année, en France, la banale grippe saisonnière fait entre 2 à 6 millions de malades et provoque environ 8.000 décès ? Nous semblons avoir également évacué de notre mémoire collective le fait que l’alcool est responsable de 41.000 décès par an, tandis qu’on estime à 73.000 ceux qui sont attribués au tabac !
Loin de moi donc, l’idée de prescrire la fermeture des églises, la suppression de messes, l’abandon du geste de paix lors de l’Eucharistie, l’imposition de tel ou tel mode de communion réputé plus hygiénique (ceci dit, chacun pourra toujours faire comme il voudra !), car une église n’est pas un lieu à risque, mais un lieu de salut. C’est un espace où l’on accueille celui qui est la Vie, Jésus-Christ, et où par lui, avec lui et en lui, on apprend ensemble à être des vivants. Une église doit demeurer ce qu’elle est : un lieu d’espérance !
Faut-il se calfeutrer chez soi ? Faut-il dévaliser le supermarché du quartier et constituer des réserves afin de se préparer à tenir un siège ? Non ! Car un chrétien ne craint pas la mort. Il n’ignore pas qu’il est mortel, mais il sait en qui il a mis sa confiance. Il croit en Jésus qui lui affirme : « Moi, je suis la résurrection et la vie. Celui qui croit en moi, même s’il meurt, vivra ; quiconque vit et croit en moi ne mourra jamais » (Jean 11, 25-26). Il se sait habité et animé par « l’Esprit de celui qui a ressuscité Jésus d’entre les morts » (Romains 8, 11).
Et puis un chrétien ne s’appartient pas à lui-même, sa vie est donnée, car il suit Jésus, qui enseigne : « Celui qui veut sauver sa vie la perdra ; mais celui qui perdra sa vie à cause de moi et de l’ Evangile la sauvera » (Marc 8, 35). Il ne s’expose certes pas indûment, mais il ne cherche pas non plus à se préserver. A la suite de son Maître et Seigneur crucifié, il apprend à se donner généreusement au service de ses frères les plus fragiles, dans la perspective de la vie éternelle.
Alors, ne cédons pas à l’épidémie de la peur ! Ne soyons pas des morts-vivants ! Comme dirait le pape François : ne vous laissez pas voler votre espérance !
+ Pascal ROLAND »
Fin de citation
La fête du crabe au moment de l’Ascension a véritablement donné le coup d’envoi aux élections municipales de 2020 bien que le principal organisateur, Maurice Lévisse, ait annoncé qu’il ne ferait partie d’aucune liste. La plupart des membres des deux équipes qui vont se disputer le suffrage des électeurs ont été présents à cette fête où sont venus aussi les élus du département, en particulier la députée Brigitte Bourguignon, ancienne socialiste devenue « en marche » au dernier scrutin, dont les photographies où l’on peut voir ses yeux d’or, sont régulièrement diffusées dans ce blog. Mais c’est surtout les commerçants qui ont donné de leur temps (et de leur argent) pour qu’elle soit réussie. Il est vrai qu’elle a attiré une foule importante qui a afflué dans les restaurants, les friteries et l’épicerie centrale.
Au cours de la proclamation des résultats des loteries destinées à payer les frais d’organisation, le hasard a fait que l’un des principaux organisateurs des loteries, chef de l’Opposition municipale, qui avait acheté un billet pour participer lui aussi au paiement de ces frais, a eu le malheur de gagner deux repas dans un restaurant du village. Devant tous les spectateurs, l’ »heureux » gagnant a été appelé par son nom et a dû monter sur le podium recevoir ses billets des mains du présentateur qui tenait le micro. Il a dû dire merci, mais merci à qui ? A lui-même ?
Mauvaise pioche. Que faire de ces deux billets »gagnants » ?
Bien qu’organisateur, il les a conservés. Mais va-t-il les utiliser ? Et s’il les utilise alors qu’il est l’organisateur de la loterie où il a lui-même gagné, que vont penser de lui ses électeurs ? Mais pouvait-il demander un nouveau tirage au sort pour les faire attribuer à un autre gagnant sans désorganiser l’emploi du temps déjà serré ?
Même s’il va dans le restaurant en payant, les mauvaises langues diront qu’il utilise ses billets pour manger gratuitement.
Et s’il ne les utilise pas, tout le village le saura aussi car l’histoire en a déjà fait le tour.
Bref un vrai casse-tête.
Pendant ce temps-là, Marlène Schiappa (prononcer « skiapp » en corse ou « skiappa » en italien, et non « chia pa »), ministre du Droit des femmes ou de quelque chose d’approchant, annonce qu’elle va faire en sorte d’empêcher l’excision des 30% d’adolescentes de nationalité française susceptibles de subir cette opération pratiquée avec un couteau de cuisine par une femme-marabout. Ce qui veut dire en clair que le tiers des adolescentes françaises appartiennent à une communauté noire en provenance de l’Afrique saharienne et subsaharienne dans laquelle cette opération pré-islamique est pratiquée régulièrement sur le sol de l’hexagone bien que punie par la loi par des peines d’emprisonnement (jamais appliquées).
On doit donc conclure que si les migrants continuent à arriver en France à un rythme aussi accéléré et que les Blancs et assimilés (européens, antillais et maghrébins réunis) deviennent minoritaires, comme en Afrique du Sud, la préfecture va décider de faire de la place à ces nouveaux arrivants à Audresselles aussi et de leur céder du terrain pour construire des mosquées en terre, comme à Bamako.
Voici un bon sujet de réflexion pour les futurs élus. Que prévoient-ils à ce sujet ? On peut constater qu’on est loin de l’affaire, minuscule, des billets de loterie.